Recherche par auteur : Stasi, Jean-Charles
2683 résultats. Page 73 sur 135.
Lu par : Véronique Pinquié
Durée : 3h. 22min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 30432
Résumé:Dans La rivière à l'envers, Tomek nous entraînait dans son incroyable quête : trouver la rivière Qjar et son eau qui empêche de mourir. Nous marchions avec lui sur les pas de Hannah. Cette fois-ci, c'est Hannah elle-même qui raconte son voyage sur la vertigineuse Route du Ciel, puis à travers le désert. Son récit nous fait découvrir des contrées nouvelles, mais on y retrouve aussi des paysages connus : la Forêt de l'Oubli, la prairie, l'océan.
Lu par : Agnès Baron
Durée : 6h. 46min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30435
Résumé:Mary Lester enquête à Trévarez, au coeur de l'Argoat, sur la mort violente d'un conférencier d'un étrange château de briques rouges. Un second meurtre survient parmi les écrivains qui s'y sont réunis.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 1min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30493
Résumé:Qui sommes-nous vraiment, nous qui avons affiché une telle détermination dans le refus de ta violence aveugle et notre foi dans la République le 11 janvier dernier ? La cartographie et la sociologie des trois à quatre millions de marcheurs parisiens et provinciaux réservent bien des surprises. Car si Chartie revendique des valeurs libérales et républicaines, les classes moyennes réelles qui marchèrent en ce jour d'indignation avaient aussi en tête un tout autre programme, bien éloigné de l'idéal proclamé. Leurs valeurs profondes évoquaient plutôt les moments tristes de notre histoire nationale : conservatisme, égoïsme, domination, inégalité. La France doit-elle vraiment continuer de maltraiter sa jeunesse, rejeter à ta périphérie de ses villes les enfants d'immigrés, reléguer au fond de ses départements ses classes populaires, diaboliser l'islam, nourrir un antisémitisme de plus en plus menaçant ? Identifier les forces anthropologiques, religieuses, économiques et politiques qui nous ont menés au bord du gouffre, indiquer tes voies difficiles, incertaines, mais possibles d'un retour à la véritable République, telle est l'ambition qui anime ce livre.
Lu par : Marie-Lise Noël
Durée : 12h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30468
Résumé:A New York, dans les années 1950« Le complet gris », c'est l'uniforme de l'Américain moyen, celui qui arrive tous les jours de sa banlieue pour travailler dans un quelconque gratte-ciel. Il est jeune encore, il a une femme et trois enfants, son travail ne l'intéresse pas beaucoup et la grande aventure de sa vie a été la guerre. Il a de l'ambition pourtant et en Amérique ambition égale argent ; il faut gagner beaucoup d'argent pour être un homme. Il accepte la situation d'avenir que lui offre un magnat de la télévision, mais cela veut dire de longues heures de travail, des absences, presque plus de vie de famille. Alors, non.L'homme s'aperçoit que son ambition, c'est de vivre en paix avec sa conscience et de vivre heureux auprès des siens. Et le destin lui donnera l'un et l'autre, une réussite qui ne sera pas une réussite sociale, mais une réussite humaine.Un livre bouleversant de tendresse, de vérité, d'émotion, un livre qui rend un son nouveau et inattendu dans la littérature américaine et que toute l'Amérique a salué comme un des meilleurs romans contemporains.
Lu par : Manon
Durée : 8h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30504
Résumé:De 1953 à sa mort en 1978, le peintre Norman Rockwell vit à Stockbridge, une petite ville du Massachusetts. Il y fait notamment de nombreuses couvertures pour le Saturday Evening Post, parfois en prenant des habitants de la ville pour modèles. A en croire l'histoire racontée dans ce roman, vers la fin de sa vie il peint Rebecca, une fillette de Stockbridge. Une fois adulte, Rebecca épouse un autre peintre, Peter Milton, avec qui elle a deux enfants, Tom et Hannah. Tandis que Rebecca rêve de devenir écrivain mais n'arrive visiblement à rien, Peter devient progressivement un grand artiste. Il propose un jour à une jeune Française, rencontrée dans le Vermont, de venir vivre dans sa famille ; en échange, elle devra poser pour lui et enseigner le français à ses enfants. Comme Ulysse est l'histoire de cette Française, racontée par elle-même. De la narratrice, on ne connaît ni l'âge, ni le nom véritable ; elle se fait appeler Lou et se présente le plus souvent en adolescente écervelée, un peu ignare et mal dégrossie. Alors qu'elle ne devait rester aux Etats-Unis que le temps d'un séjour linguistique avec sa soeur, elle y passe plusieurs années, d'abord à New York puis en Nouvelle-Angleterre, et ses souvenirs de France (sa vie à Paris, ses vacances en Bretagne), de plus en plus douloureux, doublent le récit de ses aventures américaines, au point que la côte Est apparaît comme un mauvais reflet de la côte bretonne. La nostalgie est aussi celle de l'enfance. Lou raconte à la fois ses relations avec le peintre, sa femme et leurs amis, et ses longues conversations avec Tom et Hannah. Ces deux enfants un peu fantomatiques semblent évoluer dans un univers qu'elle comprend de moins en moins. Ainsi, de même qu'elle flotte entre deux langues et deux cultures, Lou n'a-t-elle sa place ni dans le monde des adultes, ni dans celui de l'enfance. Quelle que soit la nostalgie qui enveloppe ce roman, il est d'abord un récit d'aventures, conduit légèrement et avec désinvolture. Le langage est familier, parfois vulgaire, les phrases se brisent et partent dans des directions aussi imprévues que la pensée de Lou, qui enchaîne les digressions et préfère toujours se contredire plutôt que de se corriger. Même quand l'histoire tourne mal et que sont racontés des événements tragiques, le style reste vif et entraînant. Si la réalité est décrite de manière simplifiée et enfantine, c'est peut-être que la narratrice, incapable d'appréhender le nouveau, doit toujours ramener l'inconnu au connu (Rebecca devient ainsi un double obscur de sa mère, la plage de Newport se confond avec celle de Sainte-Anne-la-Palud...). Lou, qui se plaint de manquer de vocabulaire et d'avoir perdu son français aux Etats- Unis, aplanit le réel et peine à percevoir les nuances entre les êtres, qu'elle confond ou au contraire oppose violemment. Ses dessins en noir et blanc, qui ponctuent la narration, apparaissent eux-mêmes comme un vague écho, simple et naïf, des tableaux de Peter.
Lu par : Manon
Durée : 9h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30498
Résumé:"Où allons-nous ? a chuchoté Agnès. Dans la brousse", ai-je dit. Mais qu'est-ce que j'en savais ? Près de la chapelle, on a traversé un épais nuage de fumée et j'ai entendu un bruit de verre brisé. Les rebelles cassaient les fenêtres à coups de gourdin. De la fumée sortait par la porte. A côté, la Jeep était en feu et on avait peur qu'elle explose. On a franchi le portail de l'école et avancé dans l'allée, puis sur la route. On a marché et marché dans la nuit, bientôt hors de tout sentier. Je distinguais la longue file de filles. Plus tard, j'ai appris que nous étions environ cent quarante. L'enlèvement des cent trente-neuf élèves du collège St Mary's d'Aboke, en Ouganda, a eu lieu dans la nuit du 10 octobre 1996. C'est à partir de ce fait réel que Susan Minot a écrit Trente filles. Terrifiées, brutalisées, pour la plupart violées, ces fillettes vont vivre un enfer. Si une des religieuses de leur école, lancée à leur poursuite, réussit à en sauver cent neuf, quel va être le sort des trente autres ? En contrepoint de leur histoire, il y a celle de Jane, une journaliste américaine venue en Afrique enquêter sur ce drame. Au fil des jours, elle devra abandonner ses certitudes et ses a priori, ainsi qu'une certaine forme d'insouciance, pour regarder en face la réalité africaine. Jusqu'à sa bouleversante rencontre avec Esther, une des petites rescapées.
Lu par : Thérèse Proust
Durée : 15h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30455
Résumé:J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies.J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers se plier d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.Quand j'ai été rappelé à l'antiquité, j'ai cherché à en prendre l'esprit, pour ne pas regarder comme semblables des cas réellement différents, et ne pas manquer les différences de ceux qui paraissent semblables.Je n'ai point tiré mes principes de mes préjugés, mais de la nature des choses. Ici, bien des vérités ne se feront sentir qu'après qu'on aura vu la chaîne qui les lie à d'autres.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 10h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 30188
Résumé:" Ma chère mère, Si tu possèdes vraiment le génie maternel et si tu n'es pas encore lasse, viens à Paris, viens me voir, et même chercher. Moi, pour mille raisons terribles, je ne puis pas aller à Honfleur chercher ce que je voudrais tant, un peu de courage et de caresses. À la fin de mars, je t'écrivais : Nous reverrons-nous jamais ! J'étais dans une de ces crises où on voit la terrible vérité. Je donnerais je ne sais quoi pour passer quelques jours auprès de toi, toi, le seul être à qui ma vie est suspendue, huit jours, trois jours, quelques heures. [...] Toutes les fois que je prends la plume pour t'exposer ma situation, j'ai peur ; j'ai peur de te tuer, de détruire ton faible corps. Et moi, je suis sans cesse, sans que tu t'en doutes, au bord du suicide. Je crois que tu m'aimes passionnément ; avec un esprit aveugle, tu as le caractère si grand ! Moi, je t'ai aimée passionnément dans mon enfance ; plus tard, sous la pression de tes injustices, je t'ai manqué de respect, comme si une injustice maternelle pouvait autoriser un manque de respect filial ; je m'en suis repenti souvent, quoique, selon mon habitude, je n'en aie rien dit. Je ne suis plus l'enfant ingrat et violent. De longues méditations sur ma destinée et sur ton caractère m'ont aidé à comprendre toutes mes fautes et toute ta générosité. Mais, en somme le mal est fait, fait par tes imprudences et par mes fautes. Nous sommes évidemment destinés à nous aimer, à vivre l'un pour l'autre, à finir notre vie le plus honnêtement et le plus doucement qu'il sera possible. Et cependant, dans les circonstances terribles où je suis placé, je suis convaincu que l'un de nous deux tuera l'autre, et que finalement nous nous tuerons réciproquement. Après ma mort, tu ne vivras plus, c'est clair. Je suis le seul objet qui te fasse vivre. Après ta mort, surtout si tu mourais par une secousse causée par moi, je me tuerais, cela est indubitable. Ta mort, dont tu parles souvent avec trop de résignation, ne corrigerait rien dans ma situation ; le conseil judiciaire serait maintenu (pourquoi ne le serait-il pas ?), rien ne serait payé, et j'aurais par surcroît de douleurs, l'horrible sensation d'un isolement absolu. Moi, me tuer, c'est absurde n'est-ce pas ? [...] Adieu, je suis exténué. Pour rentrer dans les détails de santé, je n'ai ni dormi, ni mangé depuis presque trois jours ; ma gorge est serrée. - Et il faut travailler. Non, je ne te dis pas adieu ; car j'espère te revoir. Oh ! lis-moi bien attentivement, tâche de bien comprendre. Je sais que cette lettre t'affectera douloureusement, mais tu y trouveras certainement un accent de douceur, de tendresse, et même encore d'espérance, que tu as trop rarement entendus Et je t'aime."
Lu par : Geneviève Cail
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30208
Résumé:Quatre mômes de huit à treize ans, au crâne tondu parce que fils de mutins fusillés en 1917, ne pensent qu'à une chose : juger et exécuter le boucher des Hurlus, général intouchable et pourtant responsable du massacre inutile de dizaine de milliers de poilus.
Lu par : Hélène Laurenceau
Durée : 5h. 19min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30200
Résumé:Qui ne s'est jamais posé la question de savoir comment se relever la nuit sans déranger son partenaire ? Grand spécialiste de la sociologie du couple, Jean-Claude Kaufmann revient ici sur l'un des éléments centraux de la relation amoureuse, le lit conjugal. Au cœur du désir charnel, le lit est aussi l'objet de nombreux inconforts : ronflements ou mouvements incessants, l'amour se conjugue parfois difficilement avec le bien-être personnel ! C'est cette contradiction que tente de mettre en perspective le sociologue.
Lu par : Véronique Pinquié
Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30199
Résumé:Par un matin de printemps, Jean-Sébastien Bach annonce à sa famille qu'il s'absente quelques semaines dans un pavillon de chasse, en Saxe, pour composer au calme. En réalité, il emmène avec lui Eva, une élève exceptionnellement douée, afin de lui transmettre sa science de la musique et de la gastronomie. Cette initiation musicale, esthétique et culinaire se prolonge pour devenir une éducation de la sensibilité et de tous les sens. Dieu et chair, corps et âme. Jusqu'où le maître pourra-t-il suivre sa disciple ?
Lu par : Gita
Durée : 25h. 20min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30222
Résumé:Les grands textes de l'ésotérisme occidental sont présentés par ordre chronologique, avec des extraits et des commentaires, analysant l'impact des textes à l'époque de leur publication et leur apport philosophique ou spirituel.
Lu par : Alain Thivon
Durée : 4h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30209
Résumé:Le médecin et député à l'origine de la loi de 2005 relative aux droits des malades et à la fin de la vie souhaite porter une réflexion moderne et laïque sur la mort, en la sortant de son tabou et de son enfermement médical.
Lu par : Isabelle Holland
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 30239
Résumé:En une trentaine de points, les informations indispensables pour démêler le vrai du faux à propos de la fiscalité française. A partir de questions d'internautes de vie-publique.com.
Lu par : Catherine Mallet
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 30213
Résumé:En cette période où des réformes du système éducatif se donnent explicitement pour projet de respecter les rythmes des élèves, en organisant l'éducation par cycle, il est indispensable de connaître les textes et la pédagogie de Maria Montessori, pionnière de l'apprentissage participatif.
Lu par : Manon
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 30168
Résumé:Il vient de loin, Jean-Pierre Darroussin. D'une vieille espèce de travailleurs qui engendraient des travailleurs, d'un monde de bras fort et fier, d'une terre lointaine où l'on se rappelle hier pour espérer demain, de familles qui, lorsqu'elles n'étaient pas occupées aux champs de patates ou à l'usine, l'étaient aux champs de bataille. L'acteur retourne à l'aube de ce temps révolu. Dans la lanterne magique de sa plume apparaît son enfance libre dans le quartier prolétaire de Courbevoie, où l'on découvre son père, Paul, ouvrier lumineux élevé par des paysans, intellectuel autodidacte, lecteur de Marx, qui lui transmet la devise de la classe laborieuse : travail, fraternité, bonté. Puis, dans les années post-68, son adolescence agitée par les filles, la musique, la comédie. Les expériences avec les potes-frères, riches d'anecdotes truculentes, le souvenir d'une époque rouge, militante et libertaire, la célébration de l'amour et de l'amitié. Autant de séquences à travers lesquelles il ressuscite un monde ancien, abandonné par le progrès et la globalisation. Mais un monde dont les valeurs humanistes et sociales, celles du Front populaire, d'une gauche militante et obstinée, continuent de l'habiter et de l'animer. Un monde dans lequel son père chante : le temps des cerises.
Lu par : Catherine Le Guillou
Durée : 14h. 22min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30023
Résumé:A la terrible année 1783, marquée par les retombées d'un volcan islandais en éruption, succède en 1784 l'hiver du siècle. A Paris, le peuple élève des obélisques de neige et de glace en reconnaissance de la charité des souverains. Dans l'une d'elles, au dégel, apparaît le corps d'une femme dénudée qui ressemble étonnamment à la reine Marie-Antoinette. Nicolas Le Floch se lance dans une enquête minutieuse de laquelle, investigation après investigation, il ressort que la victime participait à des soirées particulières organisées à Monceau par le duc de Chartres, futur duc d'Orléans. Dans ce récit surgissent les figures pittoresques d'une revendeuse à la toilette, d'une devineresse qui dépouille ses pratiques, d'un ouvrier de la manufacture de Sèvres qui vole à Versailles, d'un marchand porcelainier receleur, d'un président à mortier et d'un architecte. Derrière ce fait divers se dissimule un complot de cour visant à compromettre la Couronne. Jamais le commissaire Le Foch, entouré de ses proches et bénéficiant de la confiance de Louis XVI, n'aura mené une recherche aussi précise et documentée qui le conduira, après bien des périls, à un dénouement inattendu.
Lu par : Marie-Françoise Auger
Durée : 6h. 47min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30096
Résumé:Mary Lester est chargée par son chef d'enquêter sur la disparition de deux gardes-chasse qui, au cours d'une mission, se sont évanouis dans la nature. L'opinion générale est qu'ils ont surpris des braconniers de gros gibier, qu'ils ont été tués et que leurs corps reposent au fond d'un bois. Cependant Mary ne partage pas cet avis.
Lu par : Femke Lavrijssen
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30008
Résumé:Martin Terrier était pauvre, esseulé, bête et méchant, mais pour changer tout ça, il avait un plan de vie beau comme une ligne droite. Après avoir pratiqué dix ans le métier d'assassin, fait sa pelote et appris les bonnes manières, il allait rentrer au pays retrouver sa promise et faire des ronds dans l'eau... Mais pour se baigner deux fois dans le même fleuve, il faut que beaucoup de sang passe sous les ponts.
Lu par : René Biraud
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30095
Résumé:L'enquête menée par Mary Lester sur le double meurtre de la Villa des Quatre Vents l'a conduite dans la région parisienne où vivaient les victimes. A peine a-t-elle gagné la capitale que les deux flics des Renseignements généraux rencontrés en Bretagne resurgissent, nettement moins cordiaux cette fois. Ils n'apprécient pas qu'une fliquette de province vienne empiéter sur leurs plates-bandes et sont décidés à employer la manière forte pour la dissuader de poursuivre son enquête. Mary doit donc faire profil bas et ruser pour démasquer le meurtrier de Louis Sayzé et de son amie à la Villa des Quatre Vents. Un faisceau de présomptions l'amène bientôt à soupçonner un proche de la femme de Louis Sayzé, mais la réaction est brutale. Elle essuie deux coups de revolver destinés à l'intimider. Il lui faudra l'aide du lieutenant Fortin, mais aussi du lieutenant Albert Passepoil, petit génie de l'informatique, et surtout l'appui indéfectible du commissaire divisionnaire Fabien, son patron, pour se sortir de ce mauvais pas et arriver à ses fins : trouver le meurtrier. Pour autant, les flics des Renseignements généraux ne désarment pas. Cette fois, Mary joue sa peau, jusque sur son territoire, venelle du Pain-Cuit...